Point 1: La Chapelle de la Miséricorde

Santiago Rusiñol entretient une relation avec la ville d'Arbúcies pour la peinture, mais aussi pour l'amélioration de sa santé. Nous avons la référence la plus claire de ses séjours au cours des étés 1926 à 1930.

Des séjours de Rusiñol à Arbúcies, nous savons qu'il séjournait avec son épouse, Lluïsa Denís, à Can Torres où il avait une amitié avec les propriétaires. Nous savons qu'il avait quelques amis arbuciens, dont M. Badés et qui était également ami de Pepet Pol, le maire républican de la ville, avec qui on le voyait souvent à Can Torres et en train de nourrir les oiseaux, sans échanger presque un mot. - C'est là que réside la clé d'une bonne amitié, qui n'a pas besoin d'être étalée dans de grandes conversations- fut sa réponse quand quelqu'un était surpris.

"Un piano dans un café, personne ne peut pas l'entendre, mais le bruit musical prive d'audition de nombreuses bêtes orales."

Santiago Rusiñol, Maximes et mauvaises pensées, CLXXIV.

POINT 1: La chapelle de la Miséricorde:

La Chapelle Notre-Dame de Miséricorde fut érigée en 1717 et agrandie en 1785. En 1809, elle fut pillée par les Français et peu de temps après, la décoration fut renouvelée. Pendant la guerre civile, en 1936, le bâtiment fut incendié et seuls les murs restèrent debout. Le 20 août 1944, la première pierre de la chapelle actuelle est posée et les travaux durent sept ans. Elle fut inauguré en septembre 1951.

"Pour les bienheureses, prier c'est comme être seule."

Maximes et mauvaises pensées, I.